lors que Donald Trump n'avait eu de cesse, lors de sa campagne de 2017, de fustiger la sousévaluation du yuan chinois qui doperait leurs exportations, il avait assuré que Pékin serait officiellement mis à l'index « au premier jour » de sa présidence. Quelques mois plus tard, Donald Trump était revenu sur ses propos et déplorait que « le dollar soit devenu trop fort : c'est en partie de ma faute parce que les gens ont confiance en moi ». Washington prenait alors le contre-pied du message traditionnel des autorités américaines selon lequel un dollar fort est une bonne chose. À l'inverse une hausse incontrôlée du dollar serait préjudiciable à la compétitivité des firmes américaines.

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